Comment reconnaître un t-shirt de qualité ?
Dans la jungle du prêt-à-porter, le t-shirt règne en maître. Il en existe tellement, déclinés par toutes les marques du marché, qu’il devient difficile de faire le bon choix. Tout d’abord, un bon t-shirt se reconnaît à sa maille de qualité. La qualité et le type de coton est primordial : Sea Island, Pima / Supima, égyptien, bio… Le grammage joue un rôle important dans la durée de vie du produit. Un t-shirt de 175 g/m² est une bonne base de référence. Quelle que soit l’épaisseur, vérifiez que le tissage soit bien dense et que la lumière ne passe pas à travers. Une fois que vous avez choisi l’épaisseur qui vous convient, regardez la qualité des coutures et du montage général. Parfois, certains t-shirts dits tubulaires n’ont pas de coutures latérales. Cela permet d’éviter que les coutures vrillent et ça apporte du confort. Toutefois, les t-shirts non tubulaires sont très bien aussi. J’apprécie que les coutures soient masquées par une ganse de propreté. C’est juste esthétique. Enfin, on fait très attention à la coupe. On évite d’avoir un t-shirt trop petit. L’idéal c’est qu’il descende au niveau de la braguette. Pareil pour les manches, ni trop étriquées ni trop évasées. Il faut être à l’aise et pas comprimé. Dans un dernier temps, vous pouvez vous intéresser au type de teinture réalisée, au pays de confection et à la présence ou non d’imprimés ou de broderies.
Un bon t-shirt, ça coûte combien ?
Il n’y a pas besoin de se ruiner pour avoir de bons t-shirts dans sa rotation. Les Pro Club, les t-shirts Bronson ou les Fruit of the Loom Heavyweight en sont de parfaits exemples. Ce sont pourtant les seuls à être vendus entre 13 et 25 €. Dès qu’on arrive sur du Made in Portugal, du Made in France, Japan ou USA, les prix montent autour des 40 / 50 €. Le conseil, c’est d’avoir une base de t-shirts robustes à prix contenu et de vous faire plaisir ponctuellement avec quelques Le Minor, Velva Sheen, Good On, Sunspel et Merz B Schwanen. Gardez en tête qu’un Pro Club va sûrement durer plus longtemps qu’un t-shirt à 50 €. Après tout, ce n’est qu’une histoire de lieu de fabrication, de positionnement et de marketing.
