L’HISTOIRE DE LA MARQUE OLOW
En 2006, Valentin Porcher et Mathieu Sorosina donnaient naissance à ce qui allait devenir la marque Olow. Avec quelques économies, mais surtout des valeurs communes et une passion pour l’art, le cinéma et les voyages, ils se mettent en tête de produire, dans leur cave du 6ème arrondissement, des t-shirts sérigraphiés en petite quantité, vendus directement sur internet. Dès le début de l’aventure, les deux hommes ont à cœur de mettre en avant sur leurs produits le travail d’artistes qu’ils affectionnent et dont ils souhaitent promouvoir le travail. Petit à petit, Olow trouve sa place dans l’écosystème et étoffe son réseau. La magie opère. Si en quinze ans d’existence, la marque a forcément évolué et grandi puisqu’elle propose aujourd’hui un vestiaire quasi complet à ses clients, les valeurs sont restées les mêmes. Véritables précurseurs sur l’utilisation de matières recyclées et responsables, les fondateurs ont toujours eu à cœur de s’inscrire dans une démarche environnementale forte. En témoignent certaines pièces (coach jacket, polaires et casquettes) fabriquées à partir de polyester issu de déchets plastiques marins produit par l’entreprise espagnole Seaqual. Concernant les deux collections annuelles, chacune d’elles a pour point de départ un thème, une idée forte magnifiée par le travail des artistes : on bénéficie d’un récit travaillé, textuel et visuel, bien loin des codes agressifs du marketing moderne. Un peu de poésie dans ce monde de brutes ! Finalement, bien au-delà du vêtement, Olow se conçoit surtout comme un acteur créatif. Que ce soit par l’intermédiaire de boutiques éphémères, d’évènements artistiques ou de collections capsules avec des marques reconnues, le label a su tirer son épingle du jeu en fidélisant autour d’un ADN fort.
NOTRE AVIS SUR LA MARQUE OLOW
L’approche résolument originale et rafraîchissante d’Olow ne peut pas laisser indifférent. Forte de collaborations entretenues depuis plusieurs années avec des artistes internationaux et locaux (Séverine Dietrich, Steven Harrington, le Nantais Antoine Corbineau…), la marque propose des pièces travaillées, colorées et brodées à des tarifs relativement contenus. Si les t-shirts sur lesquels collaborent les artistes sont incontournables, les autres pièces du vestiaire n’ont rien à leur envier. En été, on retrouve du coton bio, du lin ou du polyester recyclé, tandis que l’hiver est propice aux pièces confectionnées dans de jolies matières naturelles (laine, velours, flanelle). Pour ce qui est de la confection, tout est fabriqué en Europe, dans des ateliers portugais avec lesquels la marque travaille depuis de nombreuses années. En fin de collection, la marque a l’habitude de solder généreusement ses produits, de quoi s’offrir certaines pièces sans trop culpabiliser.
