L’histoire de la marque serge blanco
Créée en 1992, la marque éponyme Serge Blanco est née de la rencontre de l’entrepreneur toulousain Jean-Jacques Lauby et de Serge Blanco, l’un des meilleurs joueurs de rugby de tous les temps. Depuis ses débuts, la marque propose des vêtements et des accessoires ancrés dans l’univers du sport mais adaptés au quotidien. Si les polos piqués hauts en couleur restent leurs produits phares, avec leurs broderies, leurs imprimés, leurs appliques bouclettes et leurs coudières, vous trouverez toutes les pièces du vestiaire masculin chez Serge Blanco, du pull en laine au caleçon. Point important, la marque propose une fourchette de tailles très étendue, du XS au 6XL, de quoi satisfaire les gabarits les plus imposants. La notoriété, cette PME familiale l’a véritablement connue en 1996, au moment des JO d’Atlanta, lorsqu’elle a habillé le service sportif et les consultants de Canal +. Les ventes sont parties en flèche suite à ce coup de projecteur. Depuis, par ses attaches avec Toulouse, la marque a naturellement collaboré avec le stade toulousain dans le cadre d’une édition limitée. La légende du skateboard Tony Alva a lui aussi fait l’objet d’une collaboration entre Serge Blanco et Vans. Rien que ça. Soucieuse de limiter son impact, la marque a supprimé toutes les matières animales de ses collections et s’efforce d’utiliser des alternatives synthétiques et des matières recyclées.
Notre avis sur la marque serge blanco
Pour ceux qui apprécient l’univers et la philosophie proposés par Serge Blanco, la marque est une alternative intéressante à Eden Park, positionnée sur un créneau milieu-de-gamme similaire. Les clients cherchant des polos de rugby confectionnés dans un jersey de qualité seront ravis. Pas qu’eux d’ailleurs. Les doudounes et les gilets sont eux aussi particulièrement sympathiques et élégants. D’ailleurs, plutôt que d’utiliser du duvet et des plumes, la marque a fait le choix de remplir les doublures de ses produits de fibres synthétiques isolantes Sorona développées par la société DuPont. Si la démarche durable de la marque est appréciable, on regrette l’absence d’indications concernant les lieux de fabrication.